Extrait du roman : Un amour dans la folie
PRESENTATION DE L'OUVRAGE
Pour son premier roman intitulé “Un amour dans la folie”, Jean-Patrick Abergel s'est inspiré de faits rééls pour raconter avec beaucoup de tendresse et d'objectivité l'histoire passionnelle et tragique d'un amour interdit et hors du commun.
Sarah une étudiante en langues étrangères et en traduction cinématographique qui dès l'âge de dix-sept ans, suite à un syndrome du délire mystique appelé aussi “syndrome de Jérusalem” est diagnostiquée schizophrénique. De père italien et de mère franco-israélienne, c'est durant ses vacances en colonie avec des scouts dans kibboutz situé au nord de sa terre natale d'Israël qu'elle connaît son premier internement psychiatrique. Tout commence par la déflagation d'une roquette tirée du Liban de laquelle elle s'en sort indemne ou presque. Cinq années après, c'est à Paris qu'elle fait la connaissance de David, un artiste-peintre rebelle et au parcours atypique vivant dans la précarité
Ils s'aiment d'mour, ils s'aiment à la folie, ils s'aiment à vouloir défier les lois de la nature. Et comme si l'état de santé fragile de Sarah ne suffisait pas, il fallait aussi que la désapprobation des deux familles s'en mêle pour tenter de mettre un terme à cette relation en dépit du bon sens, allant jusqu'à entrprendre une machination machiavélique, non sans l'aide des institutions psychiatriques. Un amour jonché d'obstacles, de déboires et de rebondissements rocambolesques où même le destin n'en finit pas de s'acharner. Contre vents et marées et prêt à défier ces murs prisons d'où l'abus psychiatrique est courant et souvent passé sous silence, David que rien n'arrête, quitte à se déclarer mentalement malade usera de tous les stratagèmes possibles pour ne pas vivre son amour loin d'elle, loin de sa seule et unique raison de vivre.
EXTRAIT DU ROMAN
Au matin il trouva sans difficulté cet hôpital gardé secret par les parents de Sarah. Il escalada le mur pour rentrer. Autour divers pavillons sectorisés, des autistes à ceux qui souffrent temporairement d'un léger désordre, des dangereux psychopathes sous haute surveillance, à ceux qui n'avaient pas tout à fait leur place dans ces lieux .
Des arbres, des fleurs, des bancs, des chaises blanches en plastique. Des murs de pierres taillés à l'ancienne, dont certains recouverts de lierre, venant clore cet environnement aux apparences paisibles d'un havre de paix. Au milieu une mare, des carpes, des cygnes, des poissons rouges. Il se rapprocha de la résidence de Sarah. Des arbustes dont principalement des conifères, une haie formait un buisson. Il alla s'asseoir pour seressaisir, réfléchir à ce qu'il allait lui dire. Observant cet environnement, les gens, la vie dans cet endroit. Il voulut tout voir sans être vu. Agenouillé épiant de sa cachette faite de feuillages, il se faisait le témoin de ce monde mystérieux qui le fascinait. Un monde qu'il ne connaissait qu'à travers les livres, le grand ou le petit écran, les histoires que Sarah lui avait racontées. Tel un voyeur, il se sentit violant l'intimité de ces pensionnaires sortant dehors vivre leurs rites habituels de leurs quotidiens monotones...
Pour son premier roman intitulé “Un amour dans la folie”, Jean-Patrick Abergel s'est inspiré de faits rééls pour raconter avec beaucoup de tendresse et d'objectivité l'histoire passionnelle et tragique d'un amour interdit et hors du commun.
Sarah une étudiante en langues étrangères et en traduction cinématographique qui dès l'âge de dix-sept ans, suite à un syndrome du délire mystique appelé aussi “syndrome de Jérusalem” est diagnostiquée schizophrénique. De père italien et de mère franco-israélienne, c'est durant ses vacances en colonie avec des scouts dans kibboutz situé au nord de sa terre natale d'Israël qu'elle connaît son premier internement psychiatrique. Tout commence par la déflagation d'une roquette tirée du Liban de laquelle elle s'en sort indemne ou presque. Cinq années après, c'est à Paris qu'elle fait la connaissance de David, un artiste-peintre rebelle et au parcours atypique vivant dans la précarité
Ils s'aiment d'mour, ils s'aiment à la folie, ils s'aiment à vouloir défier les lois de la nature. Et comme si l'état de santé fragile de Sarah ne suffisait pas, il fallait aussi que la désapprobation des deux familles s'en mêle pour tenter de mettre un terme à cette relation en dépit du bon sens, allant jusqu'à entrprendre une machination machiavélique, non sans l'aide des institutions psychiatriques. Un amour jonché d'obstacles, de déboires et de rebondissements rocambolesques où même le destin n'en finit pas de s'acharner. Contre vents et marées et prêt à défier ces murs prisons d'où l'abus psychiatrique est courant et souvent passé sous silence, David que rien n'arrête, quitte à se déclarer mentalement malade usera de tous les stratagèmes possibles pour ne pas vivre son amour loin d'elle, loin de sa seule et unique raison de vivre.
EXTRAIT DU ROMAN
Au matin il trouva sans difficulté cet hôpital gardé secret par les parents de Sarah. Il escalada le mur pour rentrer. Autour divers pavillons sectorisés, des autistes à ceux qui souffrent temporairement d'un léger désordre, des dangereux psychopathes sous haute surveillance, à ceux qui n'avaient pas tout à fait leur place dans ces lieux .
Des arbres, des fleurs, des bancs, des chaises blanches en plastique. Des murs de pierres taillés à l'ancienne, dont certains recouverts de lierre, venant clore cet environnement aux apparences paisibles d'un havre de paix. Au milieu une mare, des carpes, des cygnes, des poissons rouges. Il se rapprocha de la résidence de Sarah. Des arbustes dont principalement des conifères, une haie formait un buisson. Il alla s'asseoir pour seressaisir, réfléchir à ce qu'il allait lui dire. Observant cet environnement, les gens, la vie dans cet endroit. Il voulut tout voir sans être vu. Agenouillé épiant de sa cachette faite de feuillages, il se faisait le témoin de ce monde mystérieux qui le fascinait. Un monde qu'il ne connaissait qu'à travers les livres, le grand ou le petit écran, les histoires que Sarah lui avait racontées. Tel un voyeur, il se sentit violant l'intimité de ces pensionnaires sortant dehors vivre leurs rites habituels de leurs quotidiens monotones...